L'utilisation du titre "chamane" pour le chamanisme occidental moderne est une question de perspective et dépend des contextes éthiques spécifiques.
Dans ce court texte, je souhaite plaider en faveur de l'utilisation du titre "praticien chamanique" à la place. Tout d'abord, il s'agit en grande partie d'être plus sensible envers d'autres cultures et de les respecter véritablement. L'équivalent du mot "chamane" dans les sociétés traditionnelles a des significations spécifiques, et en tant qu'étranger, je manque de contexte. Sans un contexte approprié (et une initiation et une formation adéquates), je risque de m'approprier abusivement. L'appropriation culturelle conduit à la mauvaise appropriation. L'utilisation du terme "praticien chamanique" au lieu de "chamane" est plus honnête et précise. Cela met en évidence le fait que nous pratiquons une forme de chamanisme mais que nous ne sommes pas des chamans traditionnels. Cela nous permet également de dépasser les traditions et même d'introduire de nouvelles pratiques. Nous pouvons utiliser de nouveaux mots, de nouveaux concepts. Tant que nous restons fidèles aux bases de la pratique. Enfin, je trouve que le terme est encourageant. Il m'aide à aborder ce travail avec un sens des responsabilités. Il m'encourage à continuer d'apprendre et de faire des recherches. Je préfère être un "praticien chamanique" plutôt qu'un "chaman". Willem Debien-Hartman (Juste au cas où quelqu'un serait très en colère : quel que soit le titre que vous utilisez pour vous-même, cela me convient. Et je ne veux pas entrer dans une discussion.)
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Blog en franglaisWillem debien-HartmanTous les textes sont mon opinion personnelle. Les anciens textes étaient écrits avec un fort accent néerlandais. Veuillez lire au-delà et comprendre le message sous-jacent ;) Categories
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Il y a une règle dans mes stages : pas de politique.
L'une des raisons est que j'ai des étudiants qui penchent à gauche, à droite, qui sont centristes et ceux qui s'en fichent complètement. Quand quelqu'un dit ouvertement qu'il est pour ou contre telle ou telle figure politique ou politique, il y aura à la fois des accords (de la part de ceux qui pensent et ressentent la même chose) et de forts désaccords. Lorsqu'il y a un désaccord, il y aura une discussion et cela se termine par de la colère. Et quand il n'y a pas de discussion, je vois clairement que quelqu'un se sent rejeté. Quelqu'un se ferme et cesse d'interagir. Nous oublions souvent que nos opinions sont des rationalisations de nos émotions et instincts. Nous n'avons jamais vraiment réfléchi à nos idées jusqu'à leurs conclusions logiques. Alors nous crions nos émotions et instincts au monde, pensant que nous avons raison et que les autres ont tort. Ce que le travail sur l'ombre peut nous montrer, c'est ce que le côté caché de notre guerre politique fait au monde. Ce que la spiritualité basée sur le cœur peut nous apporter, c'est reconnaître que nos idées prennent naissance dans notre cœur : dans nos sentiments, instincts, intuitions et types de personnalité. Elle nous enseigne que les autres sont comme nous. Ils ont aussi une sensibilité, ils penchent à gauche ou à droite, conservateurs ou progressistes, autoritaires ou libertaires. Nous pouvons reconnaître que leurs "idées" sont, comme les nôtres, des rationalisations d'énergies qui commencent dans le cœur et dans nos personnalités. Et alors, nous pouvons choisir de ne pas les faire se sentir en colère ou rejetés. Et simplement accepter leur énergie du cœur et leur type de personnalité. |
Tous les dessins et photos sur le site sont réalisés par Willem Hartman